fer de
france
Lieu d’échange et
de rassemblement
des acteurs de
la filière ferroviaire
française
Organisme interprofessionnel qui fédère
l’ensemble des acteurs publics et privés du rail
de tous métiers
créé fin
2012
12
membres
présent sur
5
continents
Stimulateur d’actions d’une filière ferroviaire
solidaire, globale et innovante
Fer de France encourage les coopérations créatrices de valeur dans le strict respect des règles stimulantes de la concurrence, y compris entre ses membres.
Fer de France au cœur de l’efficacité énergétique face au changement climatique
ACTIVITÉS FERROVIAIRES DES MEMBRES FER DE FRANCE PAR TYPE ET PAR PAYS (MAI 2014)
AUJOURD’HUI,
la filière française est présente auprès de 82% de la population mondiale.
DEMAIN,
300 villes de plus d’un million d’habitants dépourvues de lignes de métro sont susceptibles de recourir à l’expertise de la filière.
Le comité stratégique réunit les Présidents des membres de Fer de France et fixe les grandes orientations. Celles-ci sont pilotées et mises en œuvre en continu par un comité opérationnel animé par le Délégué général et les délégués des Présidents. Ce comité s’appuie sur les travaux de plusieurs commissions thématiques.
C’est un moment clé pour le transport ferroviaire,
accentuons ensemble nos efforts pour
une mobilité durable en France et dans le monde
UN
CHIFFRE
30% des tramways du monde
Leaders mondiaux, les acteurs français – industriels ou opérateurs membres de l’UTP (Keolis, RATP Dev, Transdev) sont actifs dans 30% des 250 réseaux de tramway récents ou modernisés.
Actuellement, 125 réseaux anciens ou vétustes en attente de modernisation, représentent une véritable opportunité pour la filière française.
300 villes de plus de 1 million d’habitants n’ont ni tramway, ni métro.
Communiqué de presse – 2 Mars 2023
La filière ferroviaire salue le plan d’avenir des transports
annoncé par la Première ministre lors de la remise
du rapport du Comité d’Orientation des Infrastructures
Les acteurs de la filière ferroviaire, réunis au sein de Fer de France, saluent le choix de la Première ministre du scénario de planification écologique préconisé par le comité d’Orientation des Infrastructures dans son rapport remis le 24 février dernier.
En plaçant le ferroviaire au cœur d’un plan d’avenir des transports d’un montant de 100 Milliards d’Euros à l’horizon 2040, Elisabeth Borne affirme l’ambition de la France de se doter d’une mobilité durable et décarbonée au profit de ses territoires et de tous les Français.
La Première ministre engage ainsi une « nouvelle donne ferroviaire ». Cette perspective de long terme permettra à la filière d’engager pleinement les ressources et compétences nécessaires pour être au rendez-vous de la planification écologique, et pour affirmer sa position de tout premier plan sur le marché mondial du transport public. Le ferroviaire est un fleuron du savoir-faire industriel et de service français, reconnu mondialement.
Ce plan donne à la France la perspective d’un réseau ferroviaire rajeuni et modernisé, notamment grâce au déploiement de la commande centralisée et de la signalisation européenne ERTMS. Il permettra d’assurer ponctualité, fréquence des trains, service performant et de qualité. Il favorisera le report modal des voyageurs et des marchandises, contribuant ainsi au respect des engagements de la France en matière de transition énergétique. Il donne aux territoires la perspective de nouveaux services de Réseaux Express Métropolitains, pour mieux desservir les territoires, améliorer les transports du quotidien, populariser l’usage du train et favoriser le report vers les transports en commun décarbonés autour des grandes métropoles françaises. Il confirme enfin les principaux grands projets d’aménagement engagés.
Ce plan d’investissement doit à présent se concrétiser par de réels engagements qui nécessiteront un dialogue renforcé avec l’ensemble des autorités publiques et des parties prenantes co-financeurs de la trajectoire d’investissements identifiée par le COI.
Les membres de Fer de France sont pleinement engagés à accomplir l’ambition portée par le gouvernement, de concert avec les collectivités territoriales et l’ensemble des acteurs de la filière.
A propos de Fer de France :
Fer de France, association loi 1901, actuellement présidée par Jean-Pierre Farandou, est l‘interprofession du ferroviaire qui associe tous les acteurs de la filière : autorités organisatrices, gestionnaires d’infrastructures, industriels, opérateurs et ingénieries.
Membres actifs : Alstom, FIF (Fédération des Industries Ferroviaires), GART (Groupement des Autorités Responsables de Transports), Getlink, RATP, Régions de France, SNCF, SNCF Réseau, Société du Grand Paris, Syntec Ingénierie, UTP (Union des Transports Publics et Ferroviaires).
Contact presse : contact@ferdefrance.fr Fer de France, 21 rue d’Alsace 75010 Paris
Communiqué de presse – 20 janvier 2023
Jean-Pierre Farandou, nouveau Président de Fer de France
Jean-Pierre Farandou, Président-Directeur général de SNCF, a été élu à la tête de Fer de France par son Assemblée générale pour un mandat de 3 ans. Il succède à Jacques Gounon, Président de Getlink.
Fer de France confie ainsi à un grand professionnel, qui a exercé de nombreuses fonctions dans le secteur du transport depuis son entrée à la SNCF en 1981, la mission de promouvoir la filière ferroviaire : “Le train est une solution pour concilier liberté de déplacement et respect de l’environnement. Face à cet impératif, Fer de France a un rôle majeur à jouer, en favorisant le dialogue et une parole commune. J’aurai à cœur de poursuivre le travail de mes prédécesseurs et je salue chaleureusement l’action de Jacques Gounon qui a maintenu la cohésion de la filière malgré la période exceptionnelle liée au Covid » a déclaré Jean-Pierre Farandou.
Jean-Pierre Farandou prend ses fonctions dans un contexte de transition sociétale que le secteur veut accompagner par sa contribution économique, territoriale et environnementale, avec l’ambition de doubler le trafic de voyageurs et le volume de marchandises transportées.
La filière ferroviaire française – parmi les premières au monde, avec des champions mondiaux, un riche tissu de PME et une ingénierie de pointe – devra également répondre aux enjeux d’attractivité et d’innovation, au profit des clients et pour attirer de nouveaux talents en son sein.
Jacques Gounon a tenu à apporter son soutien au nouveau Président et lui a témoigné sa confiance : « Je suis heureux que Jean-Pierre Farandou ait accepté de me succéder malgré sa charge actuelle. Président de Fer de France, il saura mobiliser toutes les forces de la filière pour consacrer le train comme la colonne vertébrale des mobilités, et ainsi accompagner le changement indispensable pour répondre à l’urgence climatique, aux défis technologiques et aux besoins de tous les territoires. »
A propos de Fer de France :
Fer de France, association loi 1901, est l‘interprofession du ferroviaire qui associe tous les acteurs de la filière : autorités organisatrices, gestionnaires d’infrastructures, industriels, opérateurs et ingénieries.
Membres actifs 2023 : Alstom, GART (Groupement des Autorités Responsables de Transports), Getlink, FIF (Fédération des Industries Ferroviaires), RATP, Régions de France, SNCF, SNCF Réseau, Société du Grand Paris, Syntec Ingénierie, UTP (Union des Transports Publics et Ferroviaires)
Présidents successifs depuis 2012 : Patrick Kron (Alstom), Pierre Mongin (RATP), Nicolas Jachiet (Syntec Ingénierie), Patrick Jeantet (SNCF Réseau), Jacques Gounon (Getlink), Jean-Pierre Farandou (SNCF)
A propos de Jean-Pierre Farandou :
Jean-Pierre Farandou est Président-Directeur général de SNCF depuis le 1er novembre 2019. Entré dans le groupe en 1981, il lance, après avoir occupé différents postes opérationnels, trois lignes de TGV : Paris-Lille en 1993 en tant que chef de projet, Thalys en 1996 en tant que DG de Thalys International et le TGV Méditerranée en 2001 en tant que Directeur adjoint Grandes Lignes. Il dirige ensuite la région SNCF Rhône-Alpes, puis prend le poste de Directeur Général de Keolis Lyon. En 2006, il crée et dirige la branche SNCF Proximités. En 2012, il devient président du Directoire de Keolis, spécialiste du transport urbain.
Fer de France, 21 rue d’Alsace 75010 Paris – Contact presse : contact@ferdefrance.fr
Les candidatures au cycle Moisson-Desroches 2022 sont ouvertes !
Toutes les informations à
www.candidaturemoissondesroches.fr
Une équipe de la promotion Moisson-Desroches travaille sur l’impact de la crise sanitaire.
Elle a synthétisé analyses et constats dans un document récapitulatif Promo MD 2020 : crise et ferroviaire, et poursuit ses travaux sur les opportunités de nouveaux relais de croissance.
Courrier de Fer de France au Président de la République
Fer de France écrit au Président de la République pour faire suite à son allocution du 14 juin. La filière ferroviaire toute entière est mobilisée pour répondre à son appel de reconstruction d’une économie forte, écologique, souveraine et solidaire.
François MEYER succède à Alain BULLOT qui était Délégué Général de Fer de France depuis 4 ans.
Préparé depuis le mois de mars, ce changement se concrétise 4 mois après l’arrivée de Patrick Jeantet à la présidence de Fer de France. C’est donc à une équipe de tête renouvelée est donc à une équipe de tête renouvelée qu’il appartiendra de faire franchir à l’association, désormais installée dans le paysage ferroviaire français, une nouvelle étape au service du rail.
Lire le communiqué de presse et les interviews de François Meyer et Alain Bullot en cliquant :
Fer de France pense qu’une des clefs de transformation de la filière est de donner aux futurs dirigeants, à un moment important de leur parcours, l’occasion d’un travail transverse et décloisonné.
Fer de France a donc initié en 2014 la première promotion du cycle Moisson-Desroches, cycle destiné aux jeunes dirigeants du ferroviaire. Cet échange interprofessionnel de haut niveau a été baptisé du nom de Pierre-Michel Moisson-Desroches, né en 1785, professeur à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne, qui avait compris – avant les autres – l’intérêt stratégique du chemin de fer.
L’objectif des participants est de travailler sur les enjeux collectifs face à un contexte mondialisé et une demande globale : interactions dans la filière, concurrence internationale et intermodale, tendances émergentes de la mobilité, innovation.
Les stagiaires y développent une vision plus transverse et plus exacte du mode ferroviaire et de son « écosystème ».
Les stagiaires, 15 à 18 jeunes cadres présentés par leur hiérarchie, suivent un cursus de conférences et visites sur une année, avec une ouverture internationale. Ils élaborent en groupes des mémoires de travail sur des thèmes stratégiques. Durant un an, ils sont suivis par l’encadrement du cycle (délégué général et comité opérationnel de Fer de France) pour participer à :
Certains événements sont facultatifs, mais la majorité d’entre eux requièrent une présence obligatoire. Le premier rendez-vous est en janvier 2017
Ce cycle est en sus de l’emploi des stagiaires et nécessite l’accord de votre entité d’appartenance..
Un droit d’inscription au cycle est exigible réglable à la validation de l’inscription par le jury (conditions et prix facilités pour certains membres, se renseigner). Les dépenses essentielles du cycle : conférences, voyage d’étude, salons et expositions, parcours d’immersion à l’étranger..) sont couvertes par Fer de France. Par contre, les déplacements rendus nécessaires par les regroupements mensuels et le travail de groupe ne le sont pas.
La langue de travail est le français, mais le voyage, certaines séances et une partie de la documentation sont en anglais. Le niveau minimal B2 est requis.
Téléchargez le dossier de candidature
Information de candidature 2018
Cycle Moisson Desroches – Dossier de candidature 2018
Cycle Moisson Desroches – Fiche signalétique 2018
Le constat est simple et tient en 5 principes
Construire par les engagements mutuels : Dans un opuscule de 31 pages puissamment documentées, Fer de France pose sur la table ses propositions. Et ses engagements.
Téléchargez le document en cliquant ci-dessous
Retrouvez le lien avec Mobilicités :
Téléchargez le rapport d’activité de Fer de France pour 2016 en cliquant sur le lien ci-dessous
Rapport d’activité assemblé 2016 VF
Confirmant la pratique de mandats courts permettant une rotation entre les membres, Nicolas Jachiet, PDG d’Egis et Président de Syntec-Ingénierie a remis son mandat à disposition de l’Assemblée Générale de Fer de France. Celle-ci a désigné le 18 avril à l’unanimité Patrick Jeantet, Président de SNCF-Réseau comme nouveau Président.
Cliquer ci-dessous pour télécharger le communiqué de presse et la bio de Patrick Jeantet
le 1er février la promotion n°2 du cycle Moisson-Desroches (promotion « Berlin ») a présenté ses travaux en présence du Président Nicolas JACHIET, de nombreux représentants des membres de Fer de France et de la toute nouvelle promotion n°3, réunie pour la première fois.
Les travaux portaient sur 3 thèmes majeurs pour le système ferroviaire :
Thème 1 : Modèles ferroviaires pour le transport régional
Le modèle actuel semble à ses limites en France. Si on veut le relancer comment travailler :
• à son attractivité et son image ?
• à sa maîtrise des coûts ?
• à sa performance ?
Il était demandé de ne pas se limiter à une reformulation des réflexions sur la situation actuelle, mais de tenter de caractériser l’enjeu à 10 ans pour les acteurs : financeurs, opérateurs, industriels, AOT, etc…Les solutions aujourd’hui débattues suffisent-elles ? Quels sont les véritables critères de pérennité ? Quelles propositions argumentées peut-on formuler qui ne l’aient pas déjà été ? Quels enjeux d’innovation ?
Thème 2 : Fret ou pas fret ? That is the question…
Le fret ferroviaire ne va pas très bien en France et en Europe. Les marges de beaucoup d’entreprises sont faibles ou négatives et elles font évoluer leur modèle de production et/ou leur positionnement marché. Ce thème souhaite explorer la question du fret sur le modèle industriel et économique du système ferré français.
Si on enlève le fret : tient-on ou pas ? Y-a-t-il en France un modèle pour un réseau voyageurs pérenne sans le fret ferroviaire ? Si oui, peut-on caractériser le système ferroviaire qui en résulte et évaluer les conséquences sur les acteurs qui le composent ?
Question symétrique : Quelles seraient les conditions pour obtenir une croissance pérenne du fret ferroviaire ? Que nous apportent les exemples qui marchent (marché, tarifs, politiques publiques, innovation, facteurs de production….)
Thème 3 : Image du ferroviaire, comment l’améliorer ?
Défaut d’attractivité pour les usagers, les chargeurs, les politiques, socio-économiques, les étudiants. La fière souffre d’un défaut de visibilité / image / compréhension à un moment pourtant clef de son histoire.
Quelles conséquences ce déficit d’image a-t-il réellement ? Peut-on caractériser l’enjeu ou évaluer la destruction de valeur que cette situation représente ?
Quelle stratégie de positionnement la filière peut-elle adopter pour changer la perception et sur quoi ou qui peut-elle s’appuyer?
—–
Sur ces trois thèmes le débat s’est établi avec la salle après des présentations dynamiques et argumentées des auditeurs, travaillant par groupes de 4 ou 5.
La séance a été conclue par Renaud LAGRAVE, Vice Président de la région Nouvelle Aquitaine. Cette région présentait un auditeur dans la promotion 2 et dans la promotion 3. Félicitant Fer de France pour l’initiative que constitue le cycle Moisson-Desroches, Renaud LAGRAVE a ainsi souligné:
« Nous, Régions, la mienne en particulier, nous jouerons résolument notre rôle de promoteurs d’initiatives. Mais force est de constater que nous manquons aujourd’hui de propositions venant du système ferroviaire. On voit bien l’enjeu de l’innovation pour le ferroviaire. Accélérons ! Prenons plus de risque ! Nous avons un besoin rapide de compétitivité et d’efficacité. La compétence est là, mais cependant le statu quo n’est pas possible. Evoluer passe aussi par un regard rénové du monde ferroviaire sur lui-même. Nous avons besoin de dirigeants plus audacieux et plus désireux de solutions nouvelles «
Pour en savoir plus :
télécharger les rapports des auditeurs de la promotion Berlin
Theme 3 Image du Ferroviaire VF
télécharger la liste des auditeurs
Cette édition 2016 était marquée d’un événement nouveau, destiné à favoriser la visibilité des PME françaises et à encourager la dynamique collective dans la filière. A l’initiative de BusinessFrance et de ses partenaires (BPI-France, la Fédération des Industries ferroviaires et Fer de France), une cérémonie de remise des prix a couronné 3 entreprises pour leur audace, leur qualité et leur dynamisme.
Les entreprises de la filière étaient assez nombreuses à candidater pour cette première édition. Un premier tour de sélection avant le salon a permis au jury présidé par Gérard Glas (British Steel) d’en choisir 9 qui ont été ensuite auditionnées. 3 ont été désignées lauréates.
La cérémonie du mardi 20 septembre à Berlin, présidée par Son Excellence l’Ambassadeur de France en Allemagne, a permis de remettre publiquement les 3 prix avec un certain enthousiasme du public composé d’entreprises et d’invités venus nombreux.
UN PRIX DE L’INTERNATIONAL a été remis à CIM, par Philippe Etienne, Ambassadeur de France, soulignant l’action de CIM et son développement sur les marchés difficiles de la maintenance dans le monde entier, développant le service pour les acteurs du ferroviaire dans des zones en demande, avec une part de CA très majoritaire à l’export.
UN PRIX INNOVATION a été remis à RUSTIN par Jean-Pierre Audoux (FIF) pour son nouveau produit de joints de portes d’accès latérales avec insertion de leds, transformant le traditionnel joint noir en un produit nouveau capable de contribuer à une information beaucoup plus claire sur l’état de la porte, sa disponibilité ou sa fermeture. Outre l’effet considérable sur l’accessibilité des personnes malvoyantes ou sourdes, ceci contribue à d’améliorer la sécurité des accès et l’ambiance en station et dans le train.
UN PRIX DE LA RELATION CLIENT-FOUNISSEUR a été remis à FLEXELEC par Alain Bullot (Fer de France). le jury a voulu souligner l’approche pro-active de cette entreprise pour comprendre le besoin client et viser le zéro défaut, malgré la prise de risque lié au caractère parfois atypique des produits souhaités. Il a semblé au jury que ce mode coopérant, allant au delà de l’acte de commande et d’achat, créait de la valeur partagée pour le client et le fournisseur.
Photos Pierre Rouchaléou pour Business France
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Mars 2017, c’est la date limite pour les entreprises pour déposer leur dossier de co-financement de projets innovants au service du ferroviaire. Le principe est simple : aider au développement, à l’industrialisation et à l’accès au marché de produits nouveaux, en aidant les entreprises ou les groupements d’entreprises au moyen
Fer de France a ainsi rencontré plusieurs dizaines de PME de la filière à l’occasion du salon Innotrans à Berlin pour informer les dirigeants de l’existence de ce dispositif.
Fer de France, la Fédération des industries ferroviaires (FIF) et le pôle de compétitivité I-Trans de Lille -Valenciennes sont à la disposition des entreprises ou des groupements pour les mettre en contact utilement avec l’ADEME et les guider dans la constitution de leur dossier de candidature.
Ce dispositif est complété par un dispositif finançant des projets plus petits , dénommé Initiative PME.
Retrouvez toutes les informations et critères d’éligibilité
L’association regroupe les auditeurs ayant suivi le cycle Moisson-Desroches de Fer de France* : Il s’agit donc de jeunes cadres dirigeants évoluant dans divers secteurs de la mobilité (exploitants, industriels, autorités organisatrices…)
L’association veut avant tout permettre à ses membres de rester en contact, pour favoriser l’esprit de filière et aborder avec un autre regard les problématiques liées à la mobilité. C’est précisément l’esprit de Moisson-Desroches.
WeFer veut ainsi « mettre son grain de sel » dans le bouillon du Ferroviaire et essayer d’influencer (un peu) son évolution : Think Tank, lobbying ? L’avenir le dira.
Une (petite) dose d’humour, un regard (un peu) décalé, une volonté de fer. Et l’assurance de faire des propositions, sans exclure l’impertinence, sérieuses et travaillées.
Trésorière : Florence Laizier, florence.laizier@ratp.fr
Secrétaire : Alexandre Magny, alexandre.magny@gart.org
Président : Didier Caramello, didier.caramello@sncf.fr
L’exigence sociétale et environnementale met le ferroviaire au centre des enjeux de développement pérenne en France et dans le monde. Il existe en France une richesse d’enseignements de haut niveau orientés vers le ferroviaire et la mobilité intermodale. Mais ils sont encore trop peu connus, alors que les besoins sont grands.
Fer de France et le tissu des Grandes Ecoles et Universités souhaitent affirmer une image moderne, dynamique, attractive et ouverte de cette filière de formation d’excellence.
L’objectif des partenaires unis pour cette initiative aux côtés des entreprises du secteur est double :
Deux initiatives sont proposées :
Mercredi 15 juin de 14h à 18h : Forum écoles – étudiants.
Une douzaine d’écoles seront à la disposition des étudiants, futurs étudiants et salariés sur l’espace forum du salon. Venez y découvrir l’offre de formations initiales et continues, les possibilités de financement, les cursus adaptés à votre profil. Cursus long, apprentissage, VAE, alternance… Des échanges personnalisés avec des responsables à votre disposition pour en parler avec vous et éclairer votre choix.
Mercredi 15 juin de 17h30 à 18h30 : Table ronde : « Mets le monde sur la voie du futur! »
Regards croisés des entreprises et des écoles
Exemples, cas concrêts, échanges avec la salle.
Sur l’espace « experts » du salon, débats animés par Fer de France.
L’évènement est co-organisé par Fer de France et Railenium, Institut de recherche et de technologie ferroviaire.
Téléchargez l’affichette de l’événement et la liste des partenaires en cliquant sur :
Efficacité énergétique :
la filière ferroviaire mobilise tous ses métiers.
(Rapport de suivi de la filière ferroviaire en application de la mesure 31f issue de la table ronde « Transport et mobilité propres » de la Conférence Environnementale 2014)
Lors de la table ronde « Transports et mobilité propres » qui s’est tenue dans le cadre de la conférence environnementale de 2014 du Conseil national de la transition énergétique, un certain nombre de mesures concernant le secteur des transports ont été décidées. La « mesure 31f » prévoit ainsi que « la filière ferroviaire conduira les travaux afin d’améliorer l’efficacité énergétique des matériels roulants, des infrastructures, de leur maintenance, de leur régénération et des systèmes d’exploitation dans les transports ferrés. Les acteurs de la filière produiront une note annuelle sur les travaux mis en œuvre pour améliorer l’efficacité énergétique dans la filière ferroviaire ». C’est l’objet du rapport téléchargeable sur ce site
Lecture rapide
Les transports ont un rôle central dans la transition énergétique et la maîtrise des changements climatiques.
En France, le secteur des transports représentait, en 2011, 32 % de l’énergie finale consommée et 27,6 % des émissions de gaz à effet de serre (132,5 Mt CO2eq) ce qui en fait le premier secteur émetteur. Dans le monde, le transport est responsable de 22,7% des GES dus à la combustion de carburant [2]. De plus, malgré les évolutions technologiques, les émissions de dioxyde de carbone liées au transport vont s’accroître, en particulier en raison de l’augmentation du niveau de vie dans les pays émergents et en développement, qui va se traduire par une forte croissance de la mobilité. Ainsi, d’après l’OCDE, les émissions de GES liées au transport pourraient doubler entre 2010 et 2050.
Nous sommes donc confrontés à un défi majeur : faire face à la croissance des besoins de mobilité tout en réduisant globalement les émissions de GES, les consommations d’énergie et les nuisances environnementales. Or le train est, de loin, le mode de transport (motorisé) qui consomme le moins d’énergie et émet le moins de GES au voyageur-km transporté.
Développer l’usage du train est donc une nécessité. Le train jouera un rôle majeur dans le système de transports post-transition énergétique, partout où les flux sont massifiés, en complémentarité avec les autres modes « doux ». Pour cela il faut inciter les voyageurs et les chargeurs à utiliser le transport ferroviaire. Cela passe par un effort constant d’amélioration de ses performances, mais cela ne suffira pas : il est nécessaire d’établir une concurrence équitable entre les modes.
Aujourd’hui l’automobile et le transport routier de marchandises ne payent pas pour les coûts sociétaux (congestion, pollution atmosphérique, émissions de GES) qu’ils engendrent, particulièrement en milieu urbain et périurbain. De même le transport aérien ne supporte aucune taxe sur les carburants qu’il utilise.
Enfin le transport ferroviaire souffre d’un déficit de financement public récurrent, maintes fois démontré, qui affecte en particulier le réseau et entraîne, de plus en plus, une dégradation des performances offertes.
Dans l’attente des évolutions nécessaires des politiques de transports, l’ensemble de la filière se mobilise pour rendre le transport ferroviaire encore plus efficient :
L’ensemble de ces technologies, dont la note donne des exemples de mises en œuvre concrètes et déjà engagées, rend accessible une décroissance du besoin énergétique de l’ordre de 20 % à l’horizon 2022. La dimension internationale est essentielle de ce point de vue. D’abord parce que le sujet est planétaire. Ensuite parce qu’elle confronte les acteurs français à la diversité des situations, et augmente ainsi leur maîtrise des sujets. Enfin parce qu’elle permet des effets d’échelle sur les développements et les pousse à aller très au-delà de ce que le seul marché français leur permettrait de développer et de mettre en œuvre. Tel est le sens de l’engagement de la filière dans le cadre de la COP21, sans attendre que soient mis en œuvre des mécanismes incitatifs sur l’empreinte carbone qui aujourd’hui n’existent pas encore, mais sont des signaux économiques absolument essentiels.Fer de France et la filière promeuvent le rôle central de la filière ferroviaire pour assurer la transition énergétique dans les transports, grâce à son bilan carbone maîtrisé, ses faibles émissions par passager, et son faible besoin énergétique. Elle mobilise les autorités organisatrices, les ingénieries et les opérateurs au profit d’un mode de transport ferroviaire toujours plus attractif, en recherchant une intermodalité capable de lever l’obstacle du « dernier kilomètre », et conservant le mode ferré comme colonne vertébrale de la mobilité.
Télécharger le rapport sur le lien : 20160422 RAPPORT 31f filiere ferroviaire VF
Fer de France veut ainsi promouvoir la nécessité de décisions volontaristes
Le ferroviaire comme colonne vertébrale de systèmes de mobilité durable, telle est la vision que portent et que déploient les acteurs français du ferroviaire.
Les Matinales de Fer de France mettent en débat la vision portée par une personnalité internationale de la société civile avec les efforts de développement des grand acteurs français du ferroviaire, en France sur toute la planète.
Retrouvez les vidéos bilingues sur :
En 2008, les grands acteurs européens de l’aéronautique, prennent conscience de leur communauté de destin face à la concurrence internationale. Au-delà de leur compétition, et après avoir défini des standards en 2004, ils créent BoostAeroSpace, une structure pour manager des plates-formes collaboratives de dématérialisation des échanges entre clients, ensembliers, équipementiers, PME.
« Faire en sorte que nos transformations digitales sachent communiquer » … Sont concernés les processus de supply chain, la collaboration de projet et l’ingénierie concourante … pour commencer. Pour la filière, c’est un puissant facteur de compétitivité collective et de solidarité entre majors et PME.
Cette démarche est-elle « clonable » pour le monde ferroviaire ? Quels sont les vrais enjeux ? Les clefs de succès ? Les freins ?
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Telles étaient les questions auxquelles ont répondu les 110 participants au séminaire organisé par Fer de France su le sujet, qui a permis à Pierre Faure, président fondateur de BoostAerospace de présenter la démarche de l’aéronautique et à une table ronde d’acteurs du ferroviaire de dresser un état de l’art dans la filière et d’identifier les enjeux.
Les présidents de Fer de France ont initié une étude de préfiguration dont il a été fait un point intermédiaire qui permet à ce stade de faire émerger quelques invariants :
Guillaume PEPY, présidnt du directoire de SNCF
Josef DOPPELBAUER, Directeur général de l’European Railways Agency
Eric TASSILLY, président du groupement des équipementiers de la fédération des industries ferroviaires
ont chacun indiqué qu’il y a urgence pour le mode ferroviaire à trouver des relais de compétitivité. En ce sens, la continuité numérique est indispensable. Ils onf apporté leur soutien appuyé à l’initiative Eurodigirail.
Téléchargez les présentations de la séance
2016 03 22 – Deroule et intervenants
2016 03 22 – introduction TR A Bullot S Scemama
2016 03 22 – AFNeT-BoostAeroSpace P Faure
(Photo : la première promotion autour du Président Nicolas Jachiet, P-DG d’EGIS et Président de Fer de France)
Lundi 25 janvier 2016 : Devant les Présidents présents les membres de la première promotion du cycle Moisson Desroches ont présenté et soutenu leur travaux qui portent sur 3 thèmes :
Thème A : La cartographie de filière : où et comment se crée la valeur dans la filière ferroviaire ? Comment la caractériser ? Comment évolue-t-elle ? Quelles sources activer pour construire la/les cartographies et les tenir à jour.
Thème présenté par :
Thème B : Anticiper et profiter des ruptures : quelles sont les ruptures (ie : les changements de nature à changer le modèle économique du mode) identifiées et les recommandations pour les accompagner.
Thème présenté par :
Thème C : Apprendre du frugal : comment faire pénétrer concrètement dans les pratiques de filière l’esprit de juste nécessaire et d’analyse de la valeur au profit de la compétitivité du mode ?
Thème présenté par :
téléchargez les études sur :
cycle MD 2015 – Anticiper les ruptures VF
Inscriptions avant le 8 février
3h / semaine
Challenges et enjeux de la Mobilité 2.0
Les Systèmes de Transports Intelligents sont porteurs de nombreux enjeux économiques et sociaux et concernent les collectivités territoriales et les fournisseurs de services en lien avec la Mobilité des personnes et des marchandises. Le développement des systèmes et services de transport intelligent s’accélère avec l’apparition de la révolution numérique que constitue l’usage de généralisé de l’internet mobile, de l’open data, du big data.
Face à cette montée en puissance du numérique, les métiers traditionnels du transport doivent s’adapter aux nouveaux besoins des entreprises (opérateurs de transport public et privé, gérants d’infrastructures routières urbaines, périurbaines, autoroutières, ferroviaires, constructeurs de voitures, trains, tramways), des collectivités territoriales (villes, départements, métropoles) et des autorités organisatrices des transports. De nouveaux métiers sont en train d’apparaître pour accompagner le développement des Transports Intelligents.
Cette formation permet de sensibiliser les nombreux acteurs de la mobilité et progressivement les mettre à niveau sur les immenses possibilités de l’économie numérique avec le développement des TIC.
Pour en savoir plus, équipe pédagogique, programme et calendrier, Fer de France recommande :
https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/MinesTelecom/04015/session01/about
L’IRT Railenium et Fer de France, lancent un cycle de travail sur les Stratégies d’essais et de validation pour le secteur ferroviaire
Comment accélérer le processus ? Peut-on gagner en fiabilité et en sécurité ? Quelles nouvelles approches et méthodes ? Que nous disent les exemples étrangers ? Comment font les autres filières ?
Un premier séminaire de travail le 23 mars à Paris sera pour les experts du secteur l’occasion de creuser ce sujet central pour la filière ferroviaire en posant un état des lieux des méthodes de d’essais et de validation au regard :
Un travail en ateliers permettra d’engager la première étape d’un travail de fond initié par la filière.
Ce cycle de travail est réalisé avec la participation et le soutien de la FIF, du pôle de compétitivité I-Trans, de l’Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF) et de la SNCF
Une restitution publique de ce premier temps fort sera effectuée
le 26 mars à 12h30 sur le salon SIFER à Lille
Fer de France a lancé son cycle interprofessionnel destiné à former les jeunes dirigeants de la filière ferroviaire. La première promotion 2015 rassemble 12 jeunes dirigeants issus des entreprises ou entités fondatrices de Fer de France.
Pendant une année, ces stagiaires complèteront leur connaissance du secteur afin d’avoir une vision plus transverse de leur branche.
Ils sont 12 à faire partie de la première promotion. Ils travaillent comme directeur du matériel, à la direction achat ou au business développement. Ces cadres de haut niveau travaillent dans des entreprises, membres fondateurs de Fer de France et ont été choisis par leur hiérarchie pour participer au premier cycle interprofessionnel de la filière. ensemble de la filière.
L’objectif ? Préparer de futurs cadres dirigeants qui seront capables d’anticiper les évolutions de leur secteur. « Nous espérons qu’à l’issue de ce cycle, les stagiaires auront une vision plus transverse de leur filière et plus exacte de l’environnement dans lequel leur entreprise évolue. Nous espérons également que cette formation leur donnera un sens plus exact des enjeux collectifs ou transverses », explique Alain Bullot, délégué général de Fer de France, qui anime cette promotion avec Guy Le Bras, directeur général du GART. Les stagiaires vont, ainsi, suivre un cursus d’une année, de janvier à décembre 2015. Pour cette première promotion expérimentale, les stagiaires ont co-construit le programme. Le cycle comporte quatre composantes :
Chaque journée de travail est consacrée aux problématiques propres à l’entité accueillante au sein de la filière.Le premier regroupement a eu lieu à la RATP. Plusieurs sujets ont été abordés : le développement du transport urbain et en Ile-de-France, la stratégie d’achat du groupe, le regard de la RATP sur la DSP (délégation de service public) et son contrat avec le Stif, le Grand Paris et le développement à l’international… Une journée ponctuée par un moment de rencontre avec le président de l’entreprise accueillante.
Les mémoires seront rédigés par groupe de quatre stagiaires. « Nous les faisons travailler sur des thèmes qui intéressent directement Fer de France, explique Alain Bullot. Nous espérons que leur éclairage nous servira de base à des recommandations sur la filière. » Trois thèmes ont, ainsi, été retenus :
Une composante du cycle est consacrée à la participation à des événements – conférences, colloques, présentations et démonstrations, salons… Les thèmes pourront être aussi divers que la ville du futur, le rôle de l’Etat, la dématérialisation des échanges dans l’aéronautique ou encore le phénomène de l’autopartage… « Il s’agit de leur donner de la hauteur sur leur filière, et de les amener à réfléchir sur des sujets qui ne sont pas au cœur leur activité professionnelle, mais sont pourtant déterminants sur notre avenir » souligne Alain Bullot. « Un seul fil rouge : l’avenir et la performance de la filière ».
Enfin, le cycle comporte un voyage d’étude d’une semaine. Pour la première année, les participants se rendront en Grande-Bretagne pour observer et comparer le système ferroviaire britannique. Les stagiaires seront, ainsi, de la promotion « Londres ».
Ce cycle interprofessionnel de haut niveau a été baptisé « Moisson-Desroches », du nom de cet ingénieur français né en 1785, qui avait compris – avant les autres – l’intérêt stratégique du chemin de fer. En 1814, il avait adressé à Napoléon Ier un rapport à ce sujet. Même si Pierre-Michel Moisson-Desroches ne fut pas écouté, son mémoire inspira 25 ans plus tard les grandes lignes structurantes du réseau français actuel. En choisissant de donner son nom à ce cycle, les stagiaires ont affiché leurs ambitions… Alain Bullot et Guy Le Bras songent d’ores et déjà à lancer une seconde promotion dès 2016 avec 20-25 stagiaires : « Nous pourrions parvenir à former rapidement une centaine de dirigeants. Nous sommes convaincus que ce cycle sera bénéfique pour l’ensemble la filière ferroviaire française. »
En collaboration avec Florence Guernalec (Mobilicités).
Le 18 juin 2014, Pierre Mongin, Président de Fer de France et Louis Nègre, Président de la FIF (Fédération des Industries Ferroviaires) ont présidé un séminaire de travail réunissant 200 acteurs de toute l’interprofession ferroviaire.
Ingénieristes, opérateurs, industriels des PME ou des grands groupes, services de l’Etat ou financeurs ont pu échanger des informations et des témoignages sur les thèmes
Arnaud Montebourg, Ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique, a ouvert la session
Les débats et tables rondes étaient animés par Gilles Dansart, journaliste, directeur de Mobilettre.
Retrouvez ci-dessous quelques temps forts des débats : ouverture, export, conclusions.
Mot d’accueil – Séminaire FIF-Fer de France le… par ferdefrance
Table ronde La filière ferroviaire française à… par ferdefrance
Table ronde La filière ferroviaire française à… par ferdefrance
Conclusion des témoignages – Séminaire FIF-Fer… par ferdefrance
Clôture des débats – Séminaire FIF-Fer de… par ferdefrance